Il y a un proverbe roumain qui dit : "Celui qui n'a pas d'ancêtres sous la main devrait s'en trouver". Le nonagénaire, Liviu Canţer, surnommé Licu, qui vit dans une petite maisonnette à Sibiu. Face à la caméra de Dumitrescu, Licu s'ouvre et partage sa vision de l'Histoire, du communisme, de l'amour et du deuil, mais il sert aussi de carrefour, immensément intéressant et tout à fait serein, entre la petite histoire individuelle et la grande Histoire nationale, et universelle.