Jeune étudiante en cinéma, Joséphine décide de faire le portrait d'une femme, Jane Clarks, afro‐américaine morte depuis déjà une trentaine d'années. Au milieu des décors de carton et de légo, les proches de Jane lui racontent sa vie à Chicago, dans le quartier de Bronzeville, à lutter contre la ségrégation, pour l'égalité entre noirs et blancs. Une vie également rythmée par le jazz et le blues.