Le documentaire nous entraîne à travers l’Europe du fanzinat, à la découverte de pratiques artistiques devenues un langage commun et fédérateur, en dehors des circuits institutionnels et marchands. Dans tout le continent, les lieux de l’underground prolifèrent. Des univers inventifs où l’on s’active, on crée. Où les artistes n’obéissent qu’à une seule règle : « Fais-le toi-même ! », « Do it yourself ! ».Le principe de l’underground est celui du mouvement, de la rencontre et de l’aléatoire. Rien n’est vraiment organisé, ou au dernier moment. Une dérive territoriale au fil du désir des personnes et de leurs créations.