Le soir où il réunit quelques amis pour fêter son anniversaire, Alexandre apprend qu’une catastrophe nucléaire mondiale est survenue. La fin du monde est proche. Alors le vieil écrivain se met à prier, et promet à Dieu de ne plus parler si tout redevient comme avant. Voilà donc son sacrifice : l’abandon de tout discours, de toute glose superflue pour retrouver l’essentiel, la vie.