Huit tableaux, huit réalisateurs, huit films. Et, chaque fois, un regard différent sur l'œuvre du plus américain des peintres. C'est tout l'enjeu de "Hopper vu par", cette collection de courtes fictions : montrer à quel point les tableaux de Hopper continuent de fasciner les cinéastes, et notamment en Europe. Raconter, aussi, la peinture autrement. Que les réalisateurs, comme Dominique Blanc, reconstituent un tableau à l'identique ("A woman in the sun"), ou qu'ils s'en inspirent avec humour et plus librement, comme Hannes Stöhr et Martin de Thurah, c'est huit manières différentes de voir la peinture.