Depuis plus de 20 ans, "la ville qui ne meurt pas" regorge d'artistes, rappeurs, danseurs, beatboxers, graffeurs, au point d'être même considérée par certains comme le berceau du graffiti arabe. Dans un contexte social pour le moins divisé, ces pratiques permettent aux sunnites, chiites, chrétiens, maronites, orthodoxes et arméniens de se rassembler autour d'une culture commune.