"Te souviens-tu encore comment nous entrainions autrefois notre pensée ?Le plus souvent nous partions d’un rêve…Nous nous demandions comment dans l’obscurité totalePeuvent surgir en nous des couleurs d’une telle intensitéD’une voix douce et faibleDisant de grandes chosesD’importantes, étonnantes, de profondes et justes chosesImage et paroleOn dirait un mauvais rêve écrit dans une nuit d’orageSous les yeux de l’OccidentLes paradis perdusLa guerre est là…"