Un photographe aveugle, une ville coupée en deux, deux jeunes Japonaises qui s’ouvrent à la caméra, un cloître roman qui cache un secret, un voyage en train… Ces éléments ou chapitres configurent l’hommage qu’Isaki Lacuesta rend à Chris Marker. Geste autorisé, d’ailleurs, par ce dernier : "En ce qui concerne l’idée d’une vidéo composite, vous devez avoir deviné que je ne suis jamais contre les expérimentations. Si Isaki Lacuesta veut choisir encore d’autres fragments d’autres films, laissez-le faire, je pratique assez la piraterie moi-même pour jouir d’être piraté." Chris Marker à son éditeur DVD espagnol Intermedio, 2007